Je n'achète plus de tomates depuis des années ; depuis que j'ai pris goût aux tomates du jardin. Tout ce qui était vendu comme tomate me semblait alors fade, dur, insipide... A de très rares exceptions, les tomates du commerce me décevaient tellement que je préférais m'en passer.
Et dimanche (premier jour de l'été), de retour du marché, où j'ai couru le risque d'être à nouveau déçu en achetant un kilo de tomates, c'est le déclic. Non seulement les tomates que m'a vendu un maraîcher sont belles et dégagent une odeur fort encourageante, mais elles sont également délicieuses... J'en aurai pleuré !
Tout d'un coup, c'est la Fête de la Tomate à la maison : il faut vite que j'improvise un petit quelque chose pour célébrer la bonne nouvelle...
J'aurai pu simplement me faire une salade mais j'avais envie d'accompagner un peu mon produit ; j'avais envie de transformation.
© Fabrice HoloweckiEt dimanche (premier jour de l'été), de retour du marché, où j'ai couru le risque d'être à nouveau déçu en achetant un kilo de tomates, c'est le déclic. Non seulement les tomates que m'a vendu un maraîcher sont belles et dégagent une odeur fort encourageante, mais elles sont également délicieuses... J'en aurai pleuré !
Tout d'un coup, c'est la Fête de la Tomate à la maison : il faut vite que j'improvise un petit quelque chose pour célébrer la bonne nouvelle...
J'aurai pu simplement me faire une salade mais j'avais envie d'accompagner un peu mon produit ; j'avais envie de transformation.
A la sortie du four, quelques feuilles de basilic déchirées à la main. Et voilà le travail !
Je crois que ce soir, c'est gaspacho ou tartare de tomates à l'huile de vanille...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire